HEIDI LEVASSEUR TRAVERSERA L’ATLANTIQUE À LA NAGE: UNE PREMIÈRE MONDIALE

DERNIÈRE HEURE, le lundi 12 septembre 2016:

L’esprit de la Traversée de L’Atlantique-Nord s’enrichi de nouveaux horizons où les nageuses d’endurance, tant amérindiennes que Blanches, sont annonciatrices d’un défi unique au monde.

« L’ODYSSÉE DE L’ATLANTIQUE » de Pierre Brouillette, fiduciaire en collaboration avec le magazine électronique QUÉBEC PRESSE, Montréal, Paris, Washington.

Grâce à une organisation de haut-niveau, l’audacieux projet de la Traversée à la nage de l’Atlantique-Nord par la nageuse québécoise Heidi Levasseur de Trois-Rivières, va de surprise en surprise… pour ne pas dire d’exploit en exploit.

En effet, d’autres nageuses d’endurance sont déjà sollicitées pour tenter de vivre à fond cette traversée avec notre Sirène du Québec qu’est Heidi Levasseur.

D’évidence, c’est une première mondiale toute féminine, avec ses 800 heures de nage, ses 100 jours dans l’eau en affrontant 5000 kilomètres de parcours, soit 2 700 milles nautiques.

PIERRE BROUILLETTE, SEUL RESPONSABLE DE L’ÉVÉNEMENT

Depuis Shawinigan, Pierre Brouillette, fiduciaire et promoteur de cet événement mondial, annonce que la marque des professionnels est désormais au rendez-vous, dont un biochimiste, notamment. Une entente avec un musée autochtone est aussi confirmée.

« Il va de soi qu’étant l’unique responsable du projet, toute autre initiative ou entente qu’elle soit caritative ou non, avec des promoteurs,

doit loyalement relever en exclusivité de mon équipe», de signaler Pierre Brouillette.

LES AMÉRINDIENS DANS LE COUP

Fait historique, l’apport des amérindiens est également mise en perspective puisque les nageuses recherchées doivent provenir des Premières nations, qu’elles soient du Québec ou de tout le Canada.

«Nous espérons également la participation d’une nageuse française, ce qui apporterait à l’odyssée une dimension historique. Imaginez! voir évoluer ensemble des athlètes québécoises, canadiennes, autochtones et française. C’est une présence magnétique et prestigieuse que nos mécènes (déjà contactés) ne demandent qu’à soutenir financièrement», s’emballe Pierre Brouillette.

Qui plus est, le Gouvernement Cubain se dit prêt à accueillir nos nageuses dans une marina cubaine, le temps de s’exercer et de se familiariser avec les courants de l’océan 

Dans ces menées positives, c’est depuis deux ans que Pierre Brouillette œuvre auprès des amérindiens de la Mauricie en vue des Olympiques de 2020 à Tokyo. « Nous allons créer un camp d’entraînement à La Tuque, en partenariat avec le maire et les amérindiens, pour accueillir tous les athlètes du Canada, qu’ils soient Blancs, de couleur ou autochtones », précise M. Brouillette. Un camp de haut rendement. Il sera également ouvert au grand public en jouant à plein la consécration olympique.

De la pure visibilité à l’horizon où l’esprit fraternel débouchera « à faire grandir ensemble nos deux peuples, côte-à-côte, tout comme la traversée de l’Atlantique-Nord qui reliera les deux continents et les deux peuples, amérindiens et Blancs », termine M. Brouillette.

VOUS ÊTES NAGEUSE ET DÉSIREZ PARTICIPER À LA TRAVERSÉE DE L’ATLANTIQUE-NORD AVEC L’ÉQUIPE DE PIERRE BROUILLETTE?

CONTACTEZ-LE :

pierrebrouillettefiduciaire@gmail.com

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ENTREVUE EXCLUSIVE DE HEIDI LEVASSEUR 

« JE SUIS PRÊTE! » 

Elle sera la première femme au monde (AVEC D’AUTRES NAGEUSES) à réussir l’exploit d’ici 2018

Par MICHEL CLOUTIER, journaliste, écrivain et éditeur de

QUÉBEC PRESSE — TROIS-RIVIÈRES, Québec, le mardi 26 avril 2016

 »Je suis prête ». Sa remarquable force d’endurance, même en eau trouble, remonte à sa jeunesse sportive: Heidi Levasseur la nageuse québécoise en eau libre entend devenir la première femme au monde à traverser l’océan Atlantique Nord  à la nage, et sans palme aucune (sans élément de propulsion), depuis un quai de l’Amérique du Nord  (des précisions à venir) vers le port de LaRochelle en France, d’ici la fin du printemps 2018. Il ne manque plus que l’appui financier de commandites internationales. De grandes marques mondiales vont se manifester sous peu.  

« C’est le plus grand défi qu’une femme n’a jamais fait à la nage », signale l’athlète d’exception.

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Originaire de Québec, elle habite Trois-Rivières. Nageuse de longues distances, ses exploits se multiplient, faisant d’elle un modèle authentiquent édifiant.

Au risque de s’épuiser (800 heures de nage et 100 jours dans l’eau), c’est vaille que vaille cette traversée, le suprême exploit de sa vie qu’elle prépare au prix de l’endurance, une traversée audacieuse, corps et âme, dressée contre les courants qu’elle a toujours su mesurer et affronter, sans ivresse ni vertige depuis les débuts de sa brillante carrière. Elle prend plaisir à expliquer que ce défi  est sérieusement pensé depuis trois ans. 

Évidemment, en prenant ainsi le grand large en affrontant 5000 kilomètres de parcours, elle sera soutenue par un équipage aguerri muni d’un navire-ravitailleur et d’instruments de communication (Internet) avec l’indispensable alerte météo pour déjouer les tempêtes en les contournant au besoin sur les 2,700 milles nautiques.

L’ESPRIT DE CONQUÊTE

Cet esprit de conquête assez distinctif —pour ne pas dire prodigieux—  s’exerce chez cette femme, tel un  »plaisir pur » à même sa force d’endurance. Tout le secret est là dans une volonté permanente et laborieuse, une fin en soi où tout se dispute dans cette conscience névralgique qui tient lieu de perfection dans cette puissante résistance physique, bien découpée à devenir une participation quasi mystique de son être.

L’univers aquatique partage aussi l’univers musical chez Heidi.  »J’aime les opéras, la musique classique et la littérature ».

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Heidi, bachelière en bio-chimie et en psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (Québec), décrochera sous peu un certificat en administration.

Oui, rien n’est au point mort chez la nageuse qui, pour aller plus haut, ne laisse rien perdre de ses valeurs. Sa force d’entraînement le prouve à même sa capacité qui, précieusement, transforme et transcende le beau et le vrai. Son métier de nageuse devient un Acte d’amour en aimant créer des liens spontanés avec le grand public et particulièrement avec la jeunesse, avide de modèles du genre. ‘C’est ma mission et ma raison d’être! », s’exclame-t-elle, croyant que la vie vaut la peine qu’on la vive en se donnant ainsi en exemple. La belle âme, la bonté naturelle annonciatrice de vérité, la valeur souveraine contre la déroutante laideur et le vice des temps modernes qui engendrent un sentiment tragique de l’existence dans les guerres et les intrigues. Mauvaise foi et mauvaise volonté.

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Bien mieux: n’ayons pas peur de la force de cette brillante nageuse qui nous conduit comme les Olympiens, disciplinés dans la splendeur éternelle du vrai, dans un espace et de lumière, celui du dépassement de soi. 

Le courage de Heidi Levasseur s’appelle également Sacrifice. Le précieux sacrifice, cette grande nécessité si utile qui fait le fond de son endurance, la forme la plus poignante de son succès dans les compétitions. Cette force rayonnante, cette supériorité confortable et cette ambition font la valeur des valeurs condensées. C’est l’endurance impérative dans la transparence des exploits. Le monopole des valeurs avec les seules ressources de l’être, de la Volonté supérieure. Les hésitants (ils s’en trouve parmi les autres athlètes), vont et viennent, oscillent d’une endurance à l’autre, ayant perdu la conduite tranchante des vainqueurs. Chez Heidi Levasseur, la plus haute valeur se fait persuasive:

—Je me sens disposée à l’endurance », confie-t-elle, sans prétention, expliquant que cet état physique et intellectuel qu’elle sublime, la distingue sans caprice, sans s’égarer dans la frivolité depuis ses tous premiers entraînements juvéniles en milieu scolaire. 

LA SIRÈNE DU QUÉBEC

Surnommée La Sirène du Québec, l’athlète de 36 ans, semble avoir une perception totale de ce qui l’attend dans cette grandiose mer aux mystères sans fonds. Déterminée plus que jamais, tout est repérable dans cette ultime aventure à se fabriquer un sommet d’idéal, bien que la perfection ne soit pas de ce monde.

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Tout s’ébauche avec minutie, chronologiquement, tout en restant elle-même dans un calme olympien, devenu une vie de relation amoureuse avec l’eau, comme si Heidi Levasseur n’avait besoin de rien d’autre pour exister que l’eau.

Détrompez-vous! Sa passion nous attrape, résolument tournée vers les autres pour servir d’exemple de courage, de persévérance et de détermination. Le sérieux par excellence. Une opération intense auprès de la jeunesse, si richement actuelle puisque tant de jeunes sont assoiffés de pureté et d’aventure.

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On ne tourne pas en rond avec Heidi, qui, sur le tremplin de ses exploits, prend son élan, vous emporte dans la frénésie des endurances, la conscience livrée à chaud, cette grâce soudaine, pacifiée, désireuse de partager sur place, sa passion en toute dignité, une magnifique sagesse, une nécessité pure, hélas! tout à l’opposée de la haute modernité rusée des réseaux sociaux télévisuels qui trop souvent immobilisent, individualisent un monde devenu insoluble, tourmenté, écartelé, la conscience confinée, isolée devant le petit écran sans âme… absurdement au quotidien en vous privant de toute forme d’exercice physique.

À vrai dire, l’esprit de conquête s’en évade, la passion s’en trouve privée de vie, le corps et le pensée en souffrent. Nous sommes acculés dans l’impasse. Des instants mortels. 

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Par chance, Heidi Levasseur est sans angoisse et sans désespoir. Authenticité brûlante, du pur vécu avec le présent qui lui permet de confier quelques secrets de l’être à ses auditoires où l’instinct file soudain en hauteur, appelé au dépassement. Voilà la condition humaine: se dépasser! Une longue gageure dans la tension d’une vie entière. Alors, la vie n’est plus un médiocre ménage mal assorti, une espèce de chance continuée vers des chemins qui ne conduisent nulle part. Mais la vie est condamné à l’excellence pour accomplir son destin.    

L’ÉPREUVE DU DÉPASSEMENT DE SOI  

Rien d’inachevé chez la nageuse. Au coeur des ses secrets, sa propre vie est l’épreuve du dépassement de soi qu’elle inspire d’une difficulté à l’autre de ses compétitions, en s’offrant d’année en année des prises salutaires à l’effort progressif. Le prix qu’il faut y mettre. Et voilà que la vibration de la vie sonne l’heure des préférences aux grands défis.

 »Je vis cet état d’être comme une prédilection avouée ». L’athlète, cet être lucide devenu fluide, endosse volontairement son destin inéluctable, aux abois, sommé de réussir cet ultimatum de l’Atlantique à traverser. Tout échec (accidentel ou pas) est d’avance balayé de son esprit.

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 »Je veux faire ma marque comme Céline Dion », avoue-t-elle avec grandeur, sans ambiguïté et le plus naturellement du monde, sans entrer dans un désespoir tragique, ni traduire ici une frivolité comique. Jaillir de sa volonté entreprenante hors des sentiers battus en allant se tailler une brèche dans le filet sélectif des Héros de ce monde.

 »Encore faut-il le faire! Et y croire avant tout! » diront malgré tout les sceptiques aux fausses relations, chez ceux qui, affairés en prenant des airs innocents, ont plutôt le goût du malheur… que du bonheur (la perversion du coeur) en conspirant gratuitement des bévues, des entraves et des obstacles dans une sorte de tragique destinal au coeur même de l’existence des grands athlètes.

Dans un contre coup malveillant, hasardeux et accusatif, ils opteront pour un tragique départ au quai en question de l’Amérique du Nord, ou encore espérant en étourdis un cataclysme géologique, un terrible tremblement de terre en pleine mer avec son raz-de-marée mortel. Le mythe de la fatalité machinée par les dieux pour punir les orgueilleux, ceux du Titanic compris. Quelle misère humaine! Quelle fragilité! Les sceptiques devraient plutôt se dire  »à la grâce de Dieu, ou qu’advienne que pourra ». Assez divagué! Passons! De célèbres commanditaires vont bientôt s’annoncer en embarquant, motivés pour soutenir en puissance, chaque jour, cette édifiante histoire humaine du monde, cette exceptionnelle traversée. 

TOUR D’HORIZON DE LA TRAVERSÉE

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Rallier L’Amérique du Nord à LaRochelle  exigera plus de trois mois de nage fébrile, mais sans débordement,  à raison de 6 à 8 heures par jour; un rythme étalé sur trois jours sur quatre, moyennant une distance d’environ 40 km marqués par une pause systématique, un temps de repos bénéfique sur le navire-ravitailleur. Dans cette nature passionnée, l’harmonie du corps et de l’âme s’en trouve quitte, calcule-t-on, sans déviation vers les excès.

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Dans ces dispositions modérées, sans lutte active pour la Québécoise, ce singulier théâtre océanique va s’accorder plusieurs objectifs dont la promotion écologique de préservation des océans, tout en contribuant à la recherche maritime, médicale, alimentaire, en passant par la neuropsychologie et la technologie.

Sur ce, un documentaire pour le grand public sera réalisé pour mettre en valeur le dépassement de soi et pour sensibiliser la population aux impacts de l’activité humaine en mer et ses effets sur la pollution. De plus, un montage-vidéo de cette odyssée animera les nombreuses conférences et les colloques que la nageuse entend livrer.

SCIENCE, CULTURE, ENVIRONNEMENT

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 Porteur d’espoir, ce projet évidemment rassembleur, se veut riche d’enseignement et de découvertes en mobilisant le monde scientifique des deux continents, l’Amérique du Nord et l’Europe dont la France. Science, culture et environnement sont en première ligne. Le savoir d’une multitude de professionnels (médecins, biologistes, massothérapeutes, etc.) sera mis à contribution.

—Tout au long de ce périple, je vais interagir avec le public des deux continents, ce qui me permettra de participer à différents projets de recherches », explique la nageuse.

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Quant au financement de l’odyssée dont les coûts estimés frôleront un million de dollars, plusieurs stratégies sont retenues: financement participatif, vente d’objets promotionnels autographiés, collaborateurs honorifiques (oeuvre en bronze), commanditaires, partenaires, conférences, etc. Sans oublier la participation d’un navire-ravitailleur.  

Le responsable des commanditaires de cette odyssée est Pierre Brouillette, fiduciaire. Contactez-le: 

pierrebrouillettefiduciere@gmail.com

REPÈRES DE LA NAGEUSE DEPUIS 2015

2015: Descente en solo du fleuve Saint-Laurent, de Montréal à Québec sur 250 kilomètres en 7 jours.

2014: Descente en solo du fleuve Saint-Laurent, de Montréal à Québec sur 250 kilomètres en 8 jours.

2012: Descente en solo de la Rivière des Outaouais, de Gatineau à Montréal sur 185 kilomètres en 7 jours.

2011: Descente en solo du fleuve Saint-Laurent, de Québec à Matane, sur 350 kilomàtres en 17 jours.

2011: Le 24 Heures de La Tuque (au Québec) en solo. Plus de 19 heures de nage sur quelque 75 km.

2010: Descente en solo du fleuve Saint-Laurent, de Montréal à Québec sur 9 jours.

2010: Le Tour en solo du Lac Saint-Jean (Québec) sur 130 km en 6 jours.

2010: Descente de la Rivière Saint-Maurice de La Tuque à Trois-Rivières (Québec) sur 165 km en 3 jours.

2009:  Descente de la Rivière Saint-Maurice de La Tuque à Trois-Rivières (Québec) sur 165 km en 5 jours.

2009: Descente en compétition de la Rivière Saguenay, de Chicoutimi à La Baie (Québec) sur 42 km en 5h36. Elle se classe première femme.

1998: États-Unis, Atlantic City, Ocean Marathon Swim. Compétition sur 34 km. Elle se classe 4 femme et 12e au cumulatif hommes/femmes en 8h08

1998: Traversée internationale du Lac Memphrémagog (Québec). Compétition sur 42 km. Elle se classe 7e femme en 11h38.

1997: Championnat canadien au Bassin olympique de Montréal. Elle se classe 3e femme sur 25 km en 5h49.

1997: En Grèce, compétition  »Koroni-Kalamata » sur 30 km. Elle se classe 2e femme en 9h30.

1996: États-Unis, Atlantic City, Ocean Marathon Swim. Compétition sur 40 km. Elle se classe 4 femme en 11h15. Une première position au cumulatif hommes/femmes.

1996: Traversée internationale du Lac Saint-Jean (Roberval, Québec). Compétition sur 40 km. Elle se classe 4e femme en 11h15 avec une première position au cumulatif hommes/femmes.

1996: Championnat canadien au Bassin olympique de Montréal. Elle se classe 2e femme sur 25 km en 5h46.

1995: Traversée internationale du Lac Memphrémagog (Québec). Compétition sur 25 km. Elle se classe 3e femme en 6h17.

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QUI EST MICHEL CLOUTIER?

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REVUE DE PRESSE

L’Atlantique à la nage en 2018 pour Heidi Levasseur

 Elle compte relever le défi en 2018.

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