»UN SLOGAN EN ANGLAIS POUR DONNER UN CARACTÈRE UNIVERSEL AU PROJET FRANÇAIS » -TONY ESTANGUET, coprésident de Paris-2024
JOURNAL QUÉBEC-PRESSE
MONTRÉAL, le samedi 1er avril 2017 —
Ah! le culte de l’Amérique! Il envoûte le monde, les Européens et fatalement nos amis Français, nos chers cousins pour qui parbleu! la culture anglo-américaine est manifestement signe de grandes fortunes, de grandes affaires, de business et de grands slogans en passant par les immenses plaines. Et toute cette richesse envoûtante est mondialement big-big avec ses multimillionnaires.
UN CHOIX HUMILIANT PROFÉRÉ PAR UN FRANÇAIS
Imaginez! Made for Sharing, ce slogan a été utilisé maintes fois lors de campagnes publicitaires françaises pour des pizzas à découper. »Une ânerie! », dira Bernard Pivot.
Et comme l’explique à son tour Arnaud-Aaron UPINSKY, »(…) le comble de la provocation et de la trahison de la langue de Molière a, en effet, été proféré par un Français, Tony Estanguet, co-président du comité de candidature aux JO 2024, lorsqu’il osa dire sans vergogne :
« Les patrons de la candidature ont choisi un slogan anglais afin de donner un caractère universel (sic) au projet français.» Comme si, depuis le triomphe du « Discours sur l’universalité de la langue française » de Rivarol à Berlin en 1784, depuis trois siècles, l’ « universalité » n’était pas reconnue comme le caractère propre indéfectible de la langue française ! » (fin de la citation).
Si bien qu’au sommet, la langue de Shakespeare-la-conquérante, grignote la langue française et sa pensée créatrice en réalisant d’un coup, (cette fois-ci) au coeur même de Paris, la percée-éclair d’un slogan outrageusement en anglais et qui drape désormais la tour Eiffel: Made for Sharing. Traduction: «Faits pour partager».
Un tel pouvoir de fascination devient de l’anglomanie.
Un collectif va attaquer en justice le slogan en anglais!
Un tel pouvoir de fascination pour l’anglais devient de l’anglomanie. C’est inquiétant et troublant… surtout pour les Québécois dont l’instinct vital est condamné à s’épanouir comme pays et exister souverainement, ou bien condamné à disparaître un jour, passivement laminés et assimilés, c’est-à-dire avalés qu’ils seront dans cette Amérique anglo-saxonne.
Du côté de l’Hexagone, voilà qu’une certaine partie de l’opinion française s’alarme et monte aux barricades devant la visée d’un tel slogan exhibé.
Car si le Comité parisien choisit sciemment ce slogan pour mousser la candidature de Paris aux prochains Jeux olympiques de 2024, c’est un choix humiliant, voire scandaleux.
On négative notre langue. C’est néfaste et contre-nature, car on l’empêche d’exercer son rôle universel en l’engouffrant dans l’écho vide de la pensée silencieuse. Le français doit émerger hors de tout silence. Mais l’avenir c’est l’anglais, s’entête-t-on. C’est devenu quasi surnaturel en sanctionnant l’esprit français dans son expression oratoire. Et le Comité parisien en éprouve la superbe vocation en se servant de tous les pouvoirs attractifs de l’anglais pour aller jusqu’au bout du triomphe olympique. À la bonne heure! Des instants déniaisés, bénis, MAIS pervers à manier l’anglais à la face du monde. Écoutez! Les Américains rient de nous! Une réalité hallucinante.
C’est déjà une bataille perdue, un recul, une défaite de la langue de Molière qui tristement manque ici de souffle pour éteindre l’enfer impérialiste du melting-pot américain… bien que personne n’ira en enfer pour un slogan en anglais de trop! Mais trop, c’est déjà trop brûlant!
Dans une optique de conscience avisée, la France étant le chef de file de la francophonie internationale, la Ville de Paris, le gouvernement français et le Comité parisien, préfèrent l’anglais universel au français universel, sachant pourtant que la »Charte olympique signale que le français est la première langue de l’olympisme, et la langue officielle du Comité international olympique (CIO), au même tire que l’anglais », rappelle Me Emmanuel Ludot, avocat français, membre du barreau de Reims. Spécialisé dans le contentieux, les affaires qu’il gère sont fréquemment médiatisées.
ET POURQUOI CE CHOIX EN ANGLAIS ?
Et pourquoi ce choix? Les patrons de la candidature ont choisi un slogan en anglais afin de « donner un caractère universel au projet français », a bêtement déclaré Tony Estanguet, coprésident de Paris-2024.
>> Paris 2024 : 50 villes dans le monde soutiennent la candidature française
Avec une raison aussi idiote qu’impérative et menaçante pour l’avenir de notre langue, se rapproche-t-on encore plus de la mort du français comme prestige culturel et linguistique sur la planète?
»La langue française est la langue universelle de la haute intelligence », riposte de tout son poids, Arnaud-Aaron Upinsky, linguiste, docteur en philosophie (etc.), de Paris.
Ce n’est pas une nouveauté. Observez certains ministres français, l’air pédant. Ils préfèrent ne s’adresser qu’en anglais, étant volontiers à la remorque de cette langue dans les conférences étrangères, et même dans l’espace social francophone. Fréquemment et intégralement, croyant que l’anglais parlé et écrit est un atout bien appliqué (même en France!), car stratégiquement dominant en surplombant toutes les autres langues. Ont-ils tord?
Montrés du doigt, ces ministres engagés tout entier, la tête auréolée, se donnent des signes d’intelligence (!) en articulant ce pouvoir anglo-saxon à discourir en anglais. Que de complaisance bien calculée! Ce qui frappe de plein fouet Sa Majesté la langue française dont le domicile fixe se limite à la France et la francophonie dans son art de transiger. Une dégradation, un péril mortel. C’est à faire paniquer les linguistes. Symptôme de la civilisation dans le désordre des langues à ne cultiver que la supériorité de l’anglais dans les relations internationales.
Des élites mal élevées, en état de faiblesse
Ridicules et coupables. Ce sont des élites intellectuellement mal élevées qui foncent tête baissée, ne sachant guère qu’ils sont en état d’infériorité et de faiblesse à devoir clôturer ainsi Molière, cette force, ce génie de l’esprit qui perd de sa valeur et qui pourtant a fertilisé notre langue dans sa durée vitale à travers le monde et qui devient une pomme défendue au sein d’une certaine diplomatie française.
Molière, Corneille, Racine, La Fontaine: le faste de la langue joue tous les personnages de l’Histoire de la civilisation française et par delà. Car elle existe, étant de tous les combats, cette vivante civilisation. Elle fit son entrée au Québec en créant, 400 ans plus tard, un État-nation, bientôt indépendant, espère-t-on. N’en déplaise aux prophètes de malheur, impérialistes affamés qui sèment la terreur économique chez les peuples destinés à l’indépendance nationale.
L’avenir du français s’épuise-t-il?
L’avenir du français s’épuise-t-il? Il est réduit à zéro pour ces Jeux, un vide creusé par ces parisiens, tout comme ces ministres, flanqués de leurs acolytes: ils regardent l’anglais, envieux, avec des yeux neufs, traducteurs à tenir lieu de perfection et d’analyses bien actualisés dans leur densité maximale.
Honteux? Non pour eux, hélas! »Il faut s’en tenir là, c’est normal », diront-ils aux journalistes francophones, avec beaucoup d’esprit de suite pour se distinguer et se surpasser dans une perception totale de l’anglais (qu’ils croient maîtriser à merveille)… et en plus, avec ce front de taureau, la conscience sottement confortable dans cette espèce de frénésie à devenir au bout du compte, presque des citoyens d’honneur de Her Majesty britannique. Aussi, une vapeur d’ivresse leur trouble la cervelle. Quelle risée!
L’anglais déborde distinctement et prodigieusement avec l’instinct, l’appétit et la convoitise de ces traducteurs qui honorent leur propre vocation de valets de la langue anglaise à mesure qu’ils en contractent le verbe qui tient lieu de perfection dans la compréhension des opinions. L’esprit français en perd son latin. C’est le prix qu’il faut y mettre.
Et pourtant, ne faut-il pas n’être que soi et rien d’autre que soi? Tout en état généreusement ouvert à la diversité? Bien sûr! Mais traduire diplomatiquement ainsi sa pensée, c’est risquer les approximations et le français, langue d’esprit, est là pour tout préciser, étant (encore) la langue diplomatique par excellence.
C’est bêtement souffrant! C’est si mal vivre son identité nationale et internationale. Mais faut-il rappeler que la France ne se sent pas encore vraiment menacée par l’intrusion de l’anglais sur son territoire? Toute vigilance semble suspendue, sauf ces groupes de citoyens indignés, exposés à lutter ouvertement contre l’anglomanie, tout comme le fait la puissante Union Nationale des Écrivains de France (UNIEF), de l’intellectuel Arnaud-Aaron UPINSKY. ALLEZ SUR: http://upinsky.work/
« Je soutiens votre action, je ne la désavouerai pas ! » (Jean-Marie Rouart de l’Académie)
31 mars 2017 — C’est au cri d’enthousiasme de « Je soutiens votre action, je ne la désavouerai pas ! » que, ce 31 mars 2017, l’académicien Jean-Marie Rouart, vient de nous faire savoir qu’il adhérait à notre combat contre le slogan anglais aux JO-Paris 2024 affiché sur la tour Eiffel.
(Rapporté par Arnaud-Aaron UPINSKY, président de l’Union Nationale des écrivains de France.)
»Il marque ainsi sa fidélité, ajoute Arnaud Upinsky, à l’acte de foi contre le tout-anglais qu’il avait exprimé, lors de son débat contre Luc Ferry, dans l’article du Monde du 3 mars 2013, intitulé
« L’anglais, chance ou danger pour le français ? » où il proclame notamment :
– « La France est un pays d’idées. Et les idées ont toujours été explosives. Quant à la langue française, elle est dans une situation effroyable. D’autan plus effroyable que les gouvernants et les Français ne s’en rendent pas compte.
– « (…) l’anglais dégrade le français » (…) La langue française ne sera bientôt plus une langue authentique, mais une sorte de pidgin ».
– « On veut vendre la France par appartements… »
– « On touche ici à l’idée de la France, et c’est ce qui déchaîne les passions. La langue française porte quelque chose de plus grand qu’elle-même, quelque chose de généreux que n’a pas l’anglais. L’anglais porte avec lui le commerce. »
http://mobile.lemonde.fr/idees/article/2013/06/03/l-anglais-chance-ou-danger-pour-le-francais_3422969_3232.html#20
D’autre réactions du côté du Québec:
»Ça ne va pas dans le traîneau? » s’indigne Nicole Drolet, de Trois-Rivières. Elle veut dire, »ça ne va pas dans la tête? ». À son avis, nos cousins français tombent à tout coup dans le piège de l’anglomanie dès qu’un un événement international se déroule chez eux… contrairement aux Québécois qui résistent à cet envahissement anglo-saxon, par amour de la langue de Vigneault et par combat pour la survie et l’épanouissement de l’identité québécoise et son espace francophone unique en Amérique du Nord.
»MOLIÈRE SE RETOURNERAIT DANS SA TOMBE!!! »
Pour Robert Grandmont, de Trois-Rivières, il est triste que les autorités françaises accordent à l’anglais tant de pouvoir sur leur propre territoire national. Molière doit se retourner dans sa tombe!!!
»Mais le français est-il appelé à devenir une langue seconde? Ici, chez nous, notre combat pour la promotion de la notre langue maternelle est permanent. On est menacé de tous bords, tous côtés, on s’est donné une charte de la langue française (la loi 101) pour mettre un frein à l’anglicisation… » Que la France prenne exemple sur nous, qui sommes au front devant cette Amérique anglophone, cette mer de 350 millions d’habitants. »
»IL Y AURAIT UN TOLLÉ DANS TOUT LE CHILI »
Pour Cécilia PROTZ, Québécoise d’origine chilienne habitant Trois-Rivières, il est malheureux que Paris choisisse un slogan en anglais. »C’est même bête et aberrant! »
»Imaginez, dit-elle, si le Chili présentait sa candidature aux Jeux de 2024 avec un slogan en anglais! Il y aurait un tollé dans tout le Chili! Ce n’est pas possible d’agir ainsi. Il y a quelque chose qui cloche dans la perception des autorités françaises: ils ne semble plus croire à l’universalité de la langue française. Et cela devient inquiétant quand on voit que l’Académie française se voit obligée d’intervenir sous la pression de l’Union nationale des Écrivains de France et de son président, l’intellectuel Arnaud-Aaron Upinsky. Ce personnage de premier plan en France, a une plume magistrale. Il faut lire ses ouvrages! Dépêchez-vous pour comprendre la bataille de notre langue sur tous les fronts. Il en fait notamment la démonstration épique (sur l’usage du français en éducation) dans »La tête coupée, le secret du pouvoir’‘, aux éditions du Bief, Paris, 1999. Un chef-d’oeuvre qui devrait le mener au sein des 40 Immortels de l’Académie française. C’est du sérieux… d’ailleurs, il vient de reconduire sa candidature. »
»ALLEZ! DEBOUT LA FRANCE! ARMEZ-VOUS DE LA LANGUE FRANÇAISE COMME AU QUÉBEC! »
Orateur passionné, ayant la prestance d’un premier ministre, André Perreault poursuit son combat patriotique, croyant que le Québec a la taille et le destin d’un pays indépendant, d’un pays francophone au même titre que la France l’est, et que cette France de nos ancêtres doit se rappeler ce qui est gravé sur le fronton du Château de Versaille: »À toutes les gloires de la France ».
»D’abord, dit-il, la Gloire de la langue, notre langue commune qui doit primer partout et ne céder en rien à l’anglais dans la promotion, surtout d’une candidature aux Jeux de 2024 ».
« Il faut être assez étourdit pour permettre un slogan en anglais. Ces messieurs du Comité parisien sont des bouffons grotesques. Au Québec, ils auraient été mis à la porte! Et vite! »
« Allez! Debout la France, armez-vous de la langue française comme nous le sommes au Québec! »
L’EXPO 67 DE MONTRÉAL
André Perreault rappelle l’appellation bien française de EXPO 67, qui animait l’Exposition universelle de Montréal de 1967. C’est le maire Jean Drapeau, à l’époque qui IMPOSA cette appellation, malgré certaines protestations de personnalités anglophones du Canada-anglais, trouvant l’appellation trop française. Drapeau n’a pas cédé. Si bien, que quatre ans plus tard, les Jeux d’Osaka s’appelaient OSAKA 70. Une victoire, un triomphe de la langue de chez nous, imposée par un petit peuple francophone à la face du monde!
« Une insulte caractérisée à la langue française »
REVUE DE PRESSE —RTL—
« Une insulte caractérisée à la langue française. » Voilà comment qualifie un collectif d’associations de défense de la langue française le slogan de la candidature de Paris aux JO de 2024. Un slogan controversé car tout en anglais : « Made for sharing » (« fait pour partager »).
Ce collectif a décidé de l’attaquer en justice, a déclaré vendredi leur avocat. Les associations estiment en effet que cet usage enfreint la loi Toubon de 1994, relative à l’emploi de la langue française, ainsi que la charte olympique, a précisé à l’AFP Me Emmanuel Ludot, confirmant une information parue jeudi dans le journal l’Union et reprise vendredi par RTL.
Pour lui, c’est notamment l’article 14 de cette loi qui est violé, puisqu’il stipule que « l’emploi d’une marque de fabrique, de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étrangers est interdit aux personnes morales de droit public dès lors qu’il existe une expression ou un terme français de même sens ». Quant à la Charte olympique, elle indique que « le français est la première langue de l’olympisme » et la langue officielle du Comité international olympique (CIO), au même titre que l’anglais.
L’Académie française exprime sa « réprobation »
Le collectif rassemble notamment Francophonie avenir (AFRAV), l’Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française, l’Union nationale des écrivains de France ou encore le Collectif unitaire républicain pour la résistance, l’initiative et l’émancipation linguistique (COURRIEL).
Une mise en demeure préalable a été adressée au groupement d’intérêt économique Paris 2024 et un référé en suspension sera déposé lundi au tribunal administratif de Paris, une fois reçu l’accusé de réception de la mise en demeure, a expliqué le conseil.
Le défenseur des droits – qui n’est autre que Jacques Toubon, l’ex-ministre de la Culture et de la Francophonie – a également été saisi. Outre le slogan, le collectif cible également la cérémonie de lancement « intégralement en anglais ».
L’Académie française avait déjà exprimé « sa réprobation » dans un communiqué, rappelant que ce slogan avait « déjà été utilisé lors de campagnes publicitaires » notamment pour des pizzas à découper.
Le président de l’Académie Goncourt, Bernard Pivot, s’est pour sa part désolé vendredi sur RTL que « Paris, capitale de la francophonie fasse la courbette devant la langue qui n’est pas seulement celle de Shakespeare mais celle de Donald Trump ». « Evidemment, je trouve que ce slogan est une faute, une ânerie », a ajouté le journaliste et chroniqueur du JDD.
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L’autocollant : « Non à l’anglais partout ! Non au Made For Sharing de Paris-2024 ! »
Voici un projet d’autocollant de l’Afrav : « Non à l’anglais partout ! Non au Made For Sharing de Paris-2024 ! Ne nous laissons pas faire ! » Dites-nous ce que vous en pensez.
L’autocollant : « Non à l’anglais partout ! Non au Made For Sharing de Paris-2024 ! »
Voici un projet d’autocollant de l’Afrav :
« Non à l’anglais partout ! Non au Made For Sharing de Paris-2024 ! Ne nous laissons pas faire ! »
De couleur jaune-fluo (21 x 10,25cm), il sera idéal pour être collé sur les publicités (illicites) en anglais des abris-bus.
Dites-nous ce que vous en pensez.
L’autocollant : « Non à l’anglais partout ! »
De couleur jaune-fluo (21 x 7,3cm), il est idéal pour être collé sur les publicités (illicites) en anglais des abris-bus.
– Gratuit pour les adhérents de l’Afrav.
– Participation aux frais pour les non-adhérents (voir notre secrétariat : contact.sy@aliceadsl.fr).
L’autocollant « JE SUIS FRANCOPHONE »
IDÉAL POUR COLLER PARTOUT
où L’ANGLAIS SÉVIT
– Les Adhérents en recevront gratuitement dans le prochain Fraterniphonie.
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Soyez de bons Résistants-colleurs, armez-vous !
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Qui est Michel Cloutier?
Journaliste de haut niveau (1), et Québécois d’origine habitant Trois-Rivières, il verse dans l’investigation professionnelle depuis une trentaine d’années. Il est également écrivain et historien. Il a été journaliste au Nouvelliste de Trois-Rivières, durant presque 30 ans.
Il a fondé le magazine électronique Journal Québec-Presse, Montréal, Paris, Washington, auquel collaborent des correspondants québécois, français et américains.
Il a signé cinq ouvrages historiques (acclamés par la critique) au cours de sa carrière.
Il a reçu la Médaille de la Ville de Bourg-de-Péage, en banlieue de Lyon en France, en 1996, des mains du maire Henri Durand, pour sa contribution au rayonnement de la langue française par ses écrits.
(1) – Selon Arnaud-Aaron Upinsky, Président-fondateur de l’Union nationale des Écrivains de France.
CONTACTEZ-NOUS : journalquebecpresse@gmail.com
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LES OUVRAGES DE MICHEL CLOUTIER:
»Nos moments d’enfer »
Feuilleton en 18 épisodes,
Le Nouvelliste 1977.
« Si Saint-Matthieu n’était conté »
Histoire d’un village qui en dit long, 1850-1948
« UN CHEF-D’OEUVRE » — Alain Duhamel, du quotidien Le Devoir, Montréal, Québec (1983).
« C’est un livre non seulement d’histoire, mais un livre qui fait histoire », d’ajouter l’hisitorien Denis Beaudoin.
« Merci pour votre livre ‘chef d’oeuvre’. Il est magistral! Et quelle recherche! fouillé et très documenté et très agréable à lire », écrit Claudine Bertrand, directrice de la Revue littéraire Arcade de Montréal.
»Les Intrépides », les dessous de la ville de Grand-Mère »
est accueilli dans la presse: « Une écriture remarquable. » (1996).
»Les Bâtisseurs de Sainte-Flore »
est retenu par Denis Vaugeois, éditeur du Septentrion, historien et ancien ministre de la culture du Québec en ses termes: « Quelle écriture! Quelle histoire! Quel chef-d’oeuvre! » (1997).
»Le siècle de Saint-Roch-de-Mékinac »
»Saint-Roch triomphe, Cloutier couvert d’éloges » — André Perreault, L’Hebdo Mékinac-Des Chenaux.
39 tableaux sociaux, Le Nouvelliste, Trois-Rivières 2001
La Page Histoire Le Nouvelliste, Trois-Rivières 2001-2003.
18 portraits à la une du quotidien Le Nouvelliste, 2003.
DOSSIERS DE PRESSE (Un regard analytique des personnalités issues de tous les horizons de la société et que publie actuellement Québec Presse)
»L’effet café » (à paraître sur Québec- Presse)
Roman inédit, 285 pages. »Passionnant! Génial! C’est un prix littéraire! » —Françoise Roy, critique littéraire et de théâtre, Paris.
»Écriture enflammée, esprit jeune, moderne et Grand-Siècle ».
—Arnaud Upinsky, Président-fondateur de l’Union nationale dses écrivains de France.
»Captivant! Passionnant! Extraordinaire! Une écriture absolument parfaite! C’est du grand, grand, grand Cloutier »
—Jean-Paul Miara, intellectuel parisien installé au Québec.
‘ »L’effroi essentiel », recueil de pensées bientôt sur Québec Presse
»Des cercles dans la nuit ». La préface est de Michel CLOUTIER, 2008. De l’auteur français Umberto Molinaro, Paris.
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